Pour la 2e édition du Dictionnaire critique et interdisciplinaire de la participation (DicoPart), j’ai eu le plaisir d’écrire l’entrée sur la « civic tech« . C’est l’occasion de clarifier deux définitions de cet objet, mais aussi de revenir sur deux dimensions de la civic tech française. C’est tout d’abord la place prépondérante des start-up et de leur univers que nous interrogeons. Ensuite, l’article revient sur le positionnement des entrepreneur·ses de la civic tech comme nouveaux intermédiaires politiques. En conclusion, nous nous interrogerons sur une éventuelle dépolitisation des enjeux de participation citoyenne.
Sens 1 : Les civic tech, technologies devant permettre aux citoyen·nes de s’engager pour contribuer aux décisions publiques. Ces plateformes en ligne et applications mobiles proposent de s’informer, communiquer, s’exprimer, débattre, voter, signer une pétition, s’organiser, etc.
De Feraudy, Tatiana. 2022. « Civic tech »,
Sens 2 : La civic tech, un groupe d’acteur·rices des secteurs privé et public intéressés à la promotion et à l’usage de technologies numériques dans les démarches de participation citoyenne, dans une perspective de modernisation de l’action publique.
in Petit et al. (dir.), DicoPart, 2ème éd., GIS-D&P
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Professionnel·les (de la participation), par Alice Mazeaud et Magali Nonjon
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Budget participatif, par William Arhip-Paterson et Gilles Pradeau
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